Pourquoi toujours moi ?

Angel & Castiel

Il faut toujours qu'on me persécute sans penser aux conséquences. J'en ai marre !

J'avais presque passé une bonne journée. Pourquoi presque ? Et bien, je dirais que de toute façon, il ne m'arriverait jamais de vivre une journée normal comme mes autres camarades. Mon pouvoir était un fardeau et souvent, je rêvais que celui-ci avait disparu, mais évidemment cela n'arrivait jamais. Comme tous les matins, je m'étais levé à sept heures pour me rendre chez mon patron. Et oui, pas de cours pour moi le matin, puisque j'étais apprenti chez un photographe à New York, en revanche l'après-midi, je faisais comme mes autres camarades mutants et je suivais les cours de nos chers professeurs au sein de l'institut Charles Xavier. J'avais passé une matinée plutôt sympa à photographier des fleurs et des insectes, ce qui demandait beaucoup de patience et le coup d'oeil adéquate. Je n'aurais les résultats de cette séance photos que demain, mais je me sentais déjà impatient de découvrir mes clichés et les critiques de mon patron, car cela m'aiderait à m'améliorer et à devenir un bon photographe. J'étais revenu à l'institut vers midi et j'avais pris mon déjeuner à la cuisine. Puis, après le déjeuner, je m'étais rendu en cours d'histoire pour deux longues heures, puis une heure de biologie, une heure de botanique et deux heures de sport pour finir cette longue après-midi de cours. Le seul cours que j'avais apprécié, c'était le sport évidemment. En ce moment, nous faisions de l'endurance, du coup aucun contact avec mes autres camarades, ce qui me rassurait toujours. Ceux qui me plaisaient le moins étaient la biologie et l'histoire. Je n'ai jamais vraiment eu d'atomes crochues avec ces deux matières. Cependant, je faisais des efforts pour ne pas me sentir largué, mais rien à faire, ça ne voulait pas rentrer dans mon crâne.

Le cours de botanique est plutôt sympa. J'aime bien apprendre toutes ces choses nouvelles sur les plantes rares par exemple ou celles qu'on ne trouve pas en Amérique. La prof - qui enseignait cette matière - était plutôt canon et la plupart des autres élèves suivaient son cours, seulement pour pouvoir la regarder. Moi, en revanche, je m'intéressais vraiment à ce qu'elle disait et je devais être le seul gars à l'écouter, pendant que les autres faisaient des remarques sur ses formes avantageuses. Je ne dis pas que je ne la trouve pas à mon goût, mais je trouvais ça déplaçait de leur part. C'est pourquoi, je fus surpris à la fin du cours, quand elle me demanda de rester. Je l'aidais à ranger les outils et les pots qui n'avaient pas servi, quand elle me demanda de passer la voir chez elle, après les cours. Cela m'avait tellement étonné, que j'avais fait une excellente performance pendant le cours de sport et pour la première fois, j'avais battu le plus rapide d'entre nous. A moins, qu'il n'ait pas utilisé son pouvoir d'hyper vitesse cette fois. Cela avait calmé mes doutes et mes appréhensions sur le coup, mais après avoir pris une bonne douche et m'être changé, tout était revenu. Surtout que le moment fatidique et redouté approcher à grands pas. Ne sachant pas quoi mettre, j'avais opté pour une tenue décontractée. Je portais un jean bleu, un tee-shirt blanc et mon habituel veste marron, ainsi qu'une paire de tennis bien confortable.

Je quittais donc le manoir vers dix-huit heures. Il faisait déjà presque nuit à cette heure-ci, mais le jardin était plutôt bien éclairé. Je ne savais pas du tout où se trouvait le loft de ma professeur, mais elle m'avait donné quelques explications après le cours, pour que je trouve facilement. Toute cette histoire me rendait nerveux, ce qui n'était pas bon, car dans ces moments-là, mon pouvoir était incontrôlable et je n'avais pas envie de donner la poisse à mon professeur. J'avais mis mes mains dans mes poches et je sentais leurs moiteurs. J'essayais de les essuyer dans mes poches. Au bout d'un quart d'heures environ, j'aperçus le loft de mademoiselle Watts et mon angoisse augmenta à nouveau. Je me dirigeais lentement vers mon destin, sans savoir à quoi m'attendre. M'avait-elle convoqué pour me parler du cours ou pour une autre raison ? Je serai bientôt fixé. Enfin, j'arrivais devant sa porte et je frappais trois coups, puis j'attendis qu'elle vienne m'ouvrir la porte ou qu'elle me dise d'entrer. Je sortis mes mains de mes poches et en attendant, je jetais un coup d'oeil aux alentours pour voir si j'étais seul dans les parages. Apparemment, il n'y avait personne d'autres dans le coin et cela n'était pas pour me rassurer. J'avais un mauvais pressentiment.

* Tout se passera bien ! Tout se passera bien ! * me répétais-je en boucle pour me rassurer, mais ça ne marchait pas vraiment.  

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Angel donnait des cours de botanique dans l'institut , même si elle savait que bien souvent les garçons présents étaient là pour une toute autre raison , elle s'en ficher un peu , tant qu'elle était avec les plantes elle était bien , mais par contre si un élève faisait une mauvaise manip sur une plante elle ne pardonner pas et ça pouvait même être violent parfois . C'est-à-dire que bien souvent des racines éjectent les élèves dehors sans aucune douceur. Dans ces moment-là, on peut voir dans le regarde d'Angel la colère, car elle a des petites veines vertes qui apparaissent autour des yeux, dans ces moment-là, elle est plus plante qu'humaines, et tout le monde sait à quel point elle aime les plantes. C'est bien pour ça que certain ne faisait rien durent le cours de peur de mal faire. Angel devait surement être une des profs les plus violentes dans l'institut, mais bon quand on connait son passé on comprend pourquoi. À la fin du cours, elle avait donné rendez-vous à un des élèves chez elle. Sans lui dire pourquoi, le pauvre allait surement stresser toute la journée, surtout qu'avec ce pouvoir, il pouvait tout arriver en plus d'attiser certaine jalousie. Bref Angel avait fait du jardinage tout le reste de la journée pour profiter un peu qu'il faisait beau avant d'enfin rentrer pour prendre une bonne douche vue qu'elle était couverte de terre comme souvent. Bref, elle entendit frapper à la porte. Elle sortit alors de la douche se sèchent rapidement les cheveux avant de mettre une serviette autour d'elle pour aller ouvrir dans cette tenue. Il faut savoir aussi qu'Angel n'a aucune gêne, il a était très dure pour Charles de faire en sorte qu'elle soit tout le temps habiller en présence d'autre personne, car durent longtemps elle n'avait presque rien sur le dos. Bref quand on n'a pas l'habitude bah ça surprend. Bref, elle ouvrit donc à Castiel en simple serviette, les cheveux encore un peu mouillés, et de l'eau ruissèlent sur certaines parties de son corps.


- Castiel entre.... Tu veux boire quelque chose ?


Angel se dirigea vers sa chambre laissent la porte ouverte, tant qu'à faire, pour s’habiller, enfin c'est un bien grand mot car elle a juste mis des sous-vêtements et un chemise par très fermer avant de revenir près de castiel .

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Pourquoi toujours moi ?

Angel & Castiel

Il faut toujours qu'on me persécute sans penser aux conséquences. J'en ai marre !

S'il y avait bien une chose que je détestais par-dessus tout, c'était d'être convoqué par un prof, mais il y avait encore pire que ça. Pour moi, le pire c'était d'être convoqué par un prof sans savoir pourquoi et c'est ce qui m'était arrivé aujourd'hui. Ma journée s'était pourtant bien passé. Je n'avais pas fait d'erreur pendant le cours de botanique. Alors pourquoi mademoiselle Watts m'avait-elle convoqué ? Je n'en avais aucune idée et cela me mettait dans un état de stress pas possible. Le pire c'était que le stress n'était pas bon pour moi, mais aussi pour les autres, car c'était le déclencheur de mon pouvoir. Hors, je ne souhaitais pas l'activé en présence de mon professeur. Cependant, je n'aurais peut-être pas le choix. Ce n'était pas la peine de m'inquiéter pour le moment, puisque le rendez-vous était pour un peu plus tard. En même temps, c'était plus fort que moi. Je n'arrêtais pas de me demander pour quelle raison, elle m'avait demandé de la rejoindre chez elle. N'avait-elle pas de bureau dans l'institut pour recevoir les élèves ? Tout cela ne me disait rien de bon. Dans quelques heures, j'aurais mes réponses, mais en attendant je ne savais toujours pas quoi penser.

Mes cours de la journée étaient enfin terminés. Le stress en revanche continuait de monter en flèches. Plus l'heure de mon rendez-vous approcher, plus je le sentais monter en moi. Du coup, je faisais très attention de ne toucher aucun de mes camarades. J'avais mangé un petit truc vite fait dans la cuisine de l'institut, puis j'étais retourné dans ma chambre pour me préparer. Je ne voulais surtout pas arriver en retard, mais je ne voulais pas me présenter devant elle sans m'être laver un peu et changer. Une fois prêt, je descendis les escaliers et je me rendais vers le jardin. C'était là où se trouver la maison de mademoiselle Watts. Pendant, que je marchais vers mon destin, si on peut dire, je me posais toujours les mêmes questions. J'avais beau me répéter que ça ne servait rien de stresser sans savoir, mais cela n'avait aucun effet apaisant sur moi. Je parcourus assez rapidement la distance qui me séparait de mon objectif. Quelques minutes plus tard, je frappais à la porte de mon professeur. Puis, j'attendis qu'elle vienne m'ouvrir tout en jetant un coup d'oeil aux alentours. Soudain, j'entendis la porte s'ouvrir et je me retournais donc. Je fus surpris de voir mon professeur en simple serviette. Le rouge mon monta aux joues. Je ne m'attendais pas à ce genre d'accueil. Je me sentis plus gêner que stresser maintenant. Je fus incapable de répondre à mademoiselle Watts sur le coup et je ne fis pas non plus un pas vers elle. Puis, comme-ci j'avais reçu un choc électrique j'arrachais mon regard de la serviette et levais les yeux vers son visage. Je me secouais mentalement.

« Oui, je veux bien ! » dis-je finalement. Un peu après que je lui ai répondu, elle s'éclipsa laissant la porte ouverte. J'entrais donc à sa suite, puis referma la porte derrière moi. Je ne savais pas très bien où je devais aller. Du coup, je restais à l'entrée, attendant que le professeur revienne. Je n'osais pas parler de peur de la déranger. 

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Angel regarda alors Castiel avec le sourire pour aller dans la cuisine.


-Tu veux quoi ?


Après avoir eu la réponse, elle retourna dans le salon avec la boisson en question pour s'asseoir sur le fauteuil en face du canapé toujours en simple serviette.


-Ne reste pas dans l'entrer viens t'asseoir, tu n'as rien à craindre ...


Elle le regarda alors tout en croisant doucement les jambes, en se penchent un peu en avant pour le regarder dans les yeux intensément sans rien dire durent plusieurs minutes, le pauvre devait ne pas être à l'aise, car il venait de renverser sa boisson ou alors c'était son pouvoir qui était en marche, c'était assez étrange comme don. Angel se leva alors pour venir près de Castiel avec des serviettes pour l'aider un peu du moins essayer, car les choses avaient l'air d'empirer, car la serviette d'Angel, c'était détacher. Ça n'était pas plus gênant que ça pour la jeune femme qui avait toujours eu en horreur les vêtements, mais pour Castiel ça ne devait pas être la même chose.


- Je pense qu'on devrait discuter. Mais je voulais voir de mes propres yeux ce don que tu avais ... Je crois que j'ai quelque plante qui peuvent calmer ton stress qui est lié à ton pouvoir ... Ça te calmera juste de tes angoisses et donc cela calmera aussi ton pouvoir. Après, tu devras apprendre à vivre avec et surtout à le contrôler plutôt que de le laisser te contrôler.


Angel alla pour se lever et cherche cela, mais la poisse était déjà présente et elle se retrouva allonger sur Castiel et sur le canapé aussi.


- Ça arrive souvent ce genre de situation ?


Elle le fixa dans les yeux toujours complètement nus heureusement que personne n'était là sinon on aurait pu imaginer beaucoup de choses qui son fausse mais bon pour le moment il fallait calmer Castiel et donc son pouvoir de poisse pour éviter une autre situation gênante pour lui.

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Pourquoi toujours moi ?

Angel & Castiel

Il faut toujours qu'on me persécute sans penser aux conséquences. J'en ai marre !

Maintenant, que je me trouvais chez elle, je sentais que mon pouvoir n'allait pas tarder à s'activer. J'étais stressé et je me posais beaucoup de questions. Je venais de passer la porte et j'étais déjà très nerveux et mal à l'aise. Mon professeur m'avait ouvert la porte dans une tenue peu adéquate pour cette situation. J'avais pris sur moi et je l'avais suivi à l'intérieur. Elle avait disparu dans une pièce du fond et j'attendais dans l'entrée qu'elle refasse surface. Elle me demanda ce que je voulais boire. Je réfléchis un moment, puis je répondis :

« Un verre de jus d'orange, s'il vous plait ! »

C'était tout ce que j'étais capable de dire. Je regardais autour de moi, mais sans vraiment voir ce qui m'entourait. Mes pensées étaient tournées vers autre chose. La raison de ma présence ici par exemple. Je l'entendis farfouiller dans sa cuisine, mais j'essayais de ne pas trop y prêter attention. Puis, elle revint vers le salon en me demandant de la rejoindre. Je n'étais pas très chaud pour ça, mais j'obéis tout de même. Je pensais qu'elle s'était habillée, mais je m'étais trompé. Quand, j'entrais dans le salon, je la vis dans la même tenue que lorsqu'elle était venue m'ouvrir la porte. Je sentis une étrange chaleur montait depuis mon ventre, jusqu'à mes joues. Et voilà, mon pouvoir venait de s'activer et si la situation ne changeait pas, ça deviendrait de pire en pire. J'allais donc la rejoindre dans le salon et je m'installai dans le canapé qui faisait face au fauteuil dans lequel elle avait prit place. Je pris le verre timidement.

Je sentais son regard sur moi et cela me mettait de plus en pus mal à l'aise. J'essayais de ne pas trop la dévisageait, sinon je serais encore plus mal à l'aise et mon pouvoir deviendrait encore plus incontrôlable. Pourquoi ne disait-elle pas la raison de son invitation au lieu de me regardait comme-ça ? Voilà ce qui me passait par la tête en cet instant. Pour me donner un peu de contenance ou seulement détourner mon attention de son regard inquisiteur. Au moment, où je portais le verre à mes lèvres, ma main trembla et je renversais plus de la moitié au sol et sur moi. Je me sentais complètement idiot. Mon professeur s'approcha alors de moi avec des serviettes pour essuyer le désastre. Sauf, qu'à cet instant la serviette de la mutante se détacha et je devins encore plus rouge que tout à l'heure. Je détournais mon regard le plus vite possible et reposais le verre sur la table basse.

« Pourriez-vous remettre votre serviette s'il vous plait ? » demandais-je à voix basse et gênée.

Puis, elle reprit la parole et apparemment elle ne m'avait pas entendue, mais je m'y étais un peu attendu vu que j'avais parlé tout bas. Je l'écoutais aussi attentivement que possible. Évidemment, j'étais tellement stressé et gêné que ce n'était pas facile. C'était facile pour elle de dire ça. Ce n'était pas elle qui devait vivre avec ce problème chaque jour. J'avais l'impression la plupart du temps que personne ne pouvait comprendre ce que je vivais avec cette poisse qui me suivait partout et tout le temps. J'aurai voulu être simplement comme les autres, un garçon normal ou alors avoir un super don comme cyclope ou Tornade.

« C'est pour ça que vous m'avez demandé de venir ? » demandais-je surpris. Si, elle me l'avait dit j'aurais été moins stressé.

« J'aimerais bien, mais ce n'est pas si simple ! » répondis-je un peu sur la défensive. Puis, elle se releva, mais soudain elle se retrouva allonger sur moi, dans le canapé. Cela n'arrangeait en rien mon problème. Ce n'était pas comme-ça, que mon problème disparaitrait. Et puis, je risquais d'en avoir un autre, car il fallait bien le dire que mademoiselle Watts était loin d'être laide. Je ne savais pas quoi lui dire. Je pris un moment pour essayer de me calmer et ne pas penser à cette situation gênante.

« Non, c'est la première fois ! Mais, il m'arrive des choses tout le temps, qui ne sont pas agréables ! »

Je ne voulais pas dire que de me retrouver sous ma jolie prof de botanique n'était pas agréable, au contraire, mais c'était très gênant et je ne l'avouerais pas. Surtout qu'elle était toujours toute nue. Heureusement que personne ne pouvait les voir, sinon bonjour les dégâts. J'attendais donc qu'elle se relève. 

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Angel resta sur Castiel à le fixer dans les yeux elle sentait le cœur de ce dernier battre a tout vitesse c’était vraiment étrange mais elle voyait aussi les drames qui lui arriver avec ce stresse. Elle remonta juste un peu sur Castiel s’approchent de ces lèvres pour lui faire respirer une sorte de fumé verte très parfumer.

-Respire doucement ça va t’aider à te détendre et a être moins stresser …. Ton pouvoir va se calmer.

Elle se redressa alors doucement toujours nue avant de poser sa main sur une plante laissent d’autre racine venir la couvrir pour lui donner une nouvelle tenue . Elle se tourna alors vers Castiel avec le sourire.

-Ton don, tu ne le vois pas comme il faut, pour toi c’est un malédiction car il se retourne contre toi, tu ne contrôle pas assez tes émotions…. Tu veux contrôler se don alors qu’il faut contrôler tes émotions, tu fonctionne à l’envers en fait.

Elle ouvrir un bar ou dedans se trouver un mini labo avant de prendre une boite de médicament pour revenir près du jeune homme.

-ces pilules sont faites a bases de certaines plantes, elles vont t’aider en cas de stresse à te calmer plus ou moins rapidement, ce que je t’ai fait respirer c’est la même chose. Ton pouvoir, si il est mieux contrôler, peu devenir puissant tu sais, tu pourrais même retourner cette poisse en chance pour toi … mais il faut apprendre à comprendre ton corps à calmer tes émotions et pour ça je pense pouvoir t’aider du mieux que je peux.

Elle lui caressa la joues en remettent quelque mèches de cheveux derrière l’oreille de Cas.

-Tu as besoin de méditation et des plantes je t’assure que ça t’aiderais beaucoup, après tout je suis là pour t’aider et je vois que tu en a besoin, tu es quelqu’un de beaucoup trop stresser et nerveux tu sais.

Elle lui sourit encore une fois avant de se lever pour aller lui rechercher un verre de jus d’orange frais et tout juste presser , bah oui contrôler les plante ça aide beaucoup . Elle se rassit alors a coter de lui le fixent encore une fois dans les yeux avec le même sourire rassurer, sa main poser sur celle de Castiel comme pour lui prouver qu’elle serait la si il en avait besoin.

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Angel & Castiel

Il faut toujours qu'on me persécute sans penser aux conséquences. J'en ai marre !

Jamais, je ne me sortirais de cette poisse. Voilà, ce que je pensais de plus en plus souvent. Quoi que je fasse, c'était de pire en pire. Comment ne pas stresser, quand votre pouvoir ou votre malédiction, comme je l'appelle, vous fait faire n'importe quoi et vous entraîne dans des histoires pas possible. J'aurais tellement préféré pouvoir devenir invisible ou un autre truc aussi cool. J'espérais qu'un jour, j'arriverais à contrôler ce don, mais pour le moment, c'était seulement une galère.

J'étais toujours chez mon professeur de botanique et dans une situation un peu particulière. Mon pouvoir s'était activé avec le stress et comme les choses ne faisaient qu'empirer depuis mon arrivée, je n'arrivais pas à me détendre et à penser à autre chose. J'avais commencé par renverser mon verre de jus d'orange, puis lorsque mademoiselle Watts avait essayé de m'aider à nettoyer et qu'elle était venue me rejoindre sur le canapé, elle s'est retrouvée complètement nue, allonger sur moi, ce qui me mettait très mal à l'aise. Oui, elle était très jolie, mais c'était avant tout mon professeur. Je connais quelques camarades de classes, qui à ma place aurait sûrement essayé de profiter de la situation, mais ce n'était pas mon genre. Je voulais seulement qu'elle se relève et qu'elle trouve des vêtements. Au lieu de ça, elle me fixa dans les yeux, puis elle remonta un peu pour se rapprocher de moi. Je ne me sentais pas très bien tout à coup. Puis, une sorte de fumée sortit de ses lèvres et elle me demanda de la respirer. Je trouvais ça étrange, mais elle devait savoir ce qu'elle faisait. Après tout, cela faisait partie de ses pouvoirs, non ? Je fis ce qu'elle me recommandait. Je me forçais à respirer calmement et à me détendre. Bizarrement, cela avait l'air de fonctionner. Mon cœur ralentit, comme ma respiration. Puis, elle se releva enfin, mais elle était toujours nue. Elle toucha une plante et c'était comme si les racines de cette plante, lui fabriquait une tenue. Cela lui allait plutôt bien. Je me mis dans une position plus confortable et lui rendit son sourire. Quand, elle reprit la parole, je l'écoutais attentivement. C'était plus facile de me concentrer maintenant. Encore une fois, mon professeur devait avoir raison, mais jusque là, je n'avais pas réussi, alors pourquoi cela marcherait-il maintenant ?

« Oui, mais dans ces cas-là, je n'arrive pas à reprendre le contrôle de mes émotions et du coup, ça ne fait qu'empirer les choses. C'est pour ça, que je vois mon don comme une malédiction, car il ne s'applique pas qu'à moi, mais aussi à ceux que je touche. »

C'était vraiment compliqué à expliquer. Moi-même, je n'arrivais pas à comprendre le fonctionnement de mon pouvoir. J'étais à l'institut pour apprendre à maîtriser cette poisse, mais pour l'instant rien ne fonctionnait et tout allait de travers. Je me demandais si un professeur serait capable de m'aider et apparemment, mademoiselle Watts était prête à prendre le risque. Cela me touchait beaucoup, mais encore une fois je ne le dirais pas. Puis, la mutante ouvrit un bar, j'entrevis une sorte de mini laboratoire et je me demandais à quoi cela pouvait bien lui servir. Oui, je sais, je suis trop curieux, mais je n'y peux rien. Elle prit une boîte et revint vers moi. Je sentais mon stress remonter en flèche, mais mon pouvoir restait en sommeil pour le moment.

* Efficace sa fumée ! * pensais-je.

Puis, elle reprit la parole à nouveau et je détournais mon attention de la boite pour la regarder dans les yeux. Je n'arrivais pas à en croire mes oreilles. C'était vraiment possible ? Moi, devenir chanceux ? Je n'y croyais pas. J'étais un peu sceptique. Je le croirais, quand je le verrais. Je la regardais d'un air surpris, puis au but de plusieurs minutes de silence, je repris mes esprits.

« Pour le stress et tout ça, je vous crois. En revanche, pour transformer ma poisse en chance, il faudrait un vrai miracle. Je ne dis pas que vos plantes ne peuvent pas m'aider, la preuve, je ne ressens plus aucun stress, mais j'ai du mal à voir comment je pourrais inverser la tendance, même avec votre aide. »

Je ne voulais pas me montrer insolent ou quoi, mais il fallait que je lui dise, ce que je pensais. J'avais besoin de réponses précises. Par contre, son aide serait la bienvenue. Si jamais c'était possible, j'étais certain qu'elle seule pourrait me venir en aide. Pour la première fois depuis des années, un sourire se dessina sur mes lèvres. Quand sa main a caressé ma joue, je n'ai ressenti aucune gêne. J'avais l'impression de voir ma mère en train de me dire que mes cheveux étaient trop longs, quand elle remit cette mèche en place derrière mon oreille. Quand, elle parla à nouveau, je l'écoutais encore plus attentivement, j'étais littéralement pendu à ses lèvres. Encore une fois, je ne pouvais pas dire qu'elle avait tort, au contraire. Apparemment, elle m'avait déjà cerné. Je poussais un soupir de soulagement.

« Je vous remercie de vouloir m'aider et je vous assure que je serai très vigilant à tout ce que vous direz et je ferai tout ce que vous demanderez, si ça peut m'aider. Oui, je le sais ! C'est pour ça, que j'ai besoin d'aide ! »

J'avais hâte de commencer à m'exercer, mais je ne pensais pas que ce serait ce soir, il commençait à se faire tard et il y avait un couvre-feu pour les étudiants. Heureusement, le lendemain, je ne travaillais pas, mais j'avais des cours presque toute la journée. Je me demandais ce que mademoiselle Watts allait m'annoncer maintenant. Je brûlais d'impatience. Cela faisait du bien de ne pas avoir la poisse.
 

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